Telle que la situation est aujourd'hui, Paris et la banlieue sont dissociables, et dissociées. La carte imaginaire par exemple est une barrière en soi dans le sens où les trajets des gens en île de France sont régis par la zone que couvre votre titre de transport. Les déplacements sont donc systématisés, stéréotypés et le plaisir de voyager est mis de côté. Cet article parle d'habiter "l'infrastructure comme un lieu commun de sociabilisation et de partage"; je pense que cibler l'urbanisme sur ces zones de déplacement et les appréhender comme territoire permettrait de favoriser le croisement, la rencontre, et de repousser les frontières de la ville.
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